École Publique Alain Péglion 28 bis avenue Germaine 06300 Nice Tél. 04 97 12 12 32 ecole.0060450G@ac-nice.fr |
|
Nice, le d novembre yyyy |
CONSEIL D’ECOLE du mardi 9 juin 2009 de 18h15 à 19h15
COMPTE RENDU
Présents :
Mme le Docteur Andrée Alziari-Nègre, Maire-Adjoint du territoire Est-Littoral, représentant la Ville de Nice ;
Mme. Binda (à partir de 18h25) et M. Rannou-Cassegrain (à partir de 18h30), parents représentants élus des parents des élèves ;
Mme. Mannucci, Directrice de l’école et enseignante de la classe de cycle 2.
M. Boulle, enseignant de la classe de cycle 3 (secrétaire de séance).
Excusée :
Mme Grattarola, Inspectrice de l’Éducation Nationale chargée de la circonscription Nice 1,
(Les points n’ont pas été tous traités dans l’ordre de l’O.D.J. envoyé avec l’invitation à ce conseil et non reproduit ici. Les débats ont été enregistrés pour permettre un compte-rendu aussi fidèle que possible, malgré quelques nécessaires résumés-synthèses.)
-
Travaux de sécurité et d’équipement réalisés et en demande.
– Inventaire des multiples travaux réalisés en 2009. Les rehausses de garde-corps à cinq fenêtres du premier étage et la purge de la façade ont été réalisées, pour un montant de 10000 €. Les rehausses n’ayant pas été faites par la même personne qui était venu prendre les mesures et étudier les conditions d’implantation (Il avait prévu que le bras puisse passer sur les côtés, au travers des rehausses et que la volute de ferronnerie serait au milieu. C’est l’inverse qui a été réalisé.), elle ont malheureusement le petit défaut de rendre le crochetage des volets en façade impossible pour toute personne de moins d’un mètre soixante dix.
– Rappel au sujet du regard de conduite d’eaux pluviales se soulevant à chaque intempérie, du fait de l’obstruction en aval de la dite conduite, ainsi que de son absence de possibilité de verrouillage. En se déplaçant légèrement il formait un trou très « piégeux » et dangereux sur le passage des enfants, dans l’entrée de la cour. Un plombier est intervenu pour tringler le conduit obturé, y dégageant des racines et semblant l’avoir débouché, après l’avoir mis en charge d’eau avec le tuyau d’arrosage.
– Demande de remplacement du nouveau photocopieur par un modèle techniquement compatible avec les besoins d’une école. Il faudrait un appareil qui atteigne au moins la vitesse de 20 copies/min, avec fonction recto-verso pour permettre d’économiser le papier, avec introducteur de documents multiples sur le capot et tri simple par décalage des paquets copiés. Le remplacement prévu en juin 2010, s’il doit renouveler le même matériel médiocre ne saurait être satisfaisant pour notre école. Un technicien récemment passé à l’école pour dépanner ce photocopieur, nous a signalé la signature d’un marché adjudicataire de la Ville de Nice, qui est en train de renouveler 150 photocopieurs sur des sites où les photocopieurs qui vont être remplacés conviendraient parfaitement à l’école. Nous demandons avec insistance que des conditions de meilleur confort de travail et d’économie de papier soient créées dans notre école par l’installation d’un photocopieur plus performant, éventuellement même ancien.
– Demande de mise en conformité des branchements électriques de tous les ordinateurs, livrés en fin d’année scolaire 2007-2008. Aménagements de prises conformes pour plusieurs autres appareils de l’école, notamment le photocopieur du rez de chaussée qui se trouve opportunément tout près des tableaux électriques. En attendant, des multiprises plus adaptées pourraient avantageusement remplacer celles en place, du point de vue de la sécurité. (Celles-ci (9) ont été livrées à l’école quelques jours après ce conseil et seront installées cet été par M. Boulle.)
– Autres travaux complémentaires qui vont être demandés selon la procédure ad-hoc : remplacement a été demandé et déjà fait, pour deux tables octogonales, taille maternelle, servant en extérieur, sous le préau de l’école ; réparation d’une charnière (arrachée du bois) de l’ouvrant (jalousie ne tenant plus qu’avec une charnière) inclinable du ventail droit de persienne sur la fenêtre côté Sud (côté où il n’y a qu’une fenêtre) de la classe du haut (plusieurs autres en voie de se détacher aussi), la rénovation de la porte d’entrée en matière de protection du bois par application de lasure adapté avant qu’elle ne se dégrade trop du fait des intempéries et de son exposition au Nord, de la rénovation du lettrage de la fresque de la façade Sud reproduisant un poème d’Alain Péglion (en niçois et traduit en français) qui commence à être presque illisible du fait de son effacement, le remplacement de plusieurs pieds en plastique (4) pour les tables du réfectoire dont la partie métallique du piètement mis à nu risque de dégrader prématurément le carrelage du sol, l’ajout de tableaux dans les classes là où les murs le permettent et avec si possible des tableaux ouvrants, le changement du verrou le plus bas de la porte d’entrée qui parfois tourne à vide sans s’ouvrir, la réparation de l’interphone, ouvre-portail commandant la serrure électrique qui ne fonctionnent plus du tout, aux deux étages après plusieurs mois d’un fonctionnement très aléatoire. Cela oblige à sortir des classes lorsque des personnes se présentent au portail. (En fait un fonctionnement pas évident qui a dû être élucidé pour tous les usagers de l’école, car il n’y avait pas de panne. Réglé à ce jour.)
– Entretien des végétaux de l’école a été demandé par courriel à Monsieur Daniel Lombardo le 26 mai 2009. Il a indiqué par téléphone, qu’après un léger retard par rapport aux programmations habituelles, ces travaux d’entretien seront effectués dans l’été.
– Ecole servant de bureau de vote : les adultes présents dans l’école les jours d’élections pourraient être invités à ne pas déplacer le mobilier de la cour. En outre, anecdotique, le vol mesquin d’un des petits pins en pots plantés par des élèves il y a un an et demi a été à déplorer.
-
Sécurité aux abords de l’école.
– Mise à disposition d’un papy trafic depuis avril 2009, M. Dalbéra, pour la plus grande satisfaction de toute la communauté éducative.
-
Aménagement d’une salle ou d’un espace polyvalent supplémentaire.
Sans rappeler les nombreux arguments incontournables développés aux précédents conseils d’école en faveur de la construction d’une salle de motricité dans cette école, incluant le chauffage des toilettes pour les enfants l’hiver, Madame Mannucci ajoute que le refus circonstancié de l’inspection académique d’autoriser l’inscription des élèves de moyenne section de maternelle, qui seraient pourtant les bienvenus pour redynamiser l’école, repose en partie sur l’absence d’espace de motricité dans cette école. (Les enfants scolarisés en début de maternelle à Terra Amata ou au Col de Villefranche, ne reviennent pas toujours poursuivre leur scolarité à partir de la GS maternelle, à l’école Alain Péglion, même si c’est leur école de secteur.)
La réponse de la mairie de Nice faisant état des contraintes liées au site classé et aux obligations de l’architecte des bâtiments de France ne peut être satisfaisante du point de vue des usagers du service public hébergé par l’école Alain Péglion. (De plus, après recherche d’informations plus approfondie, il apparaîtrait que dans les mêmes conditions, il y a quelques années, un permis de construire avait été délivré pour une extension du bâtiment à usage de réfectoire, avant que pour des raisons semble-t-il budgétaires, d’autres aménagements soient réalisés sans faire usage de ce permis de construire. Cela infirmerait ce qui est annoncé dans le document préparatoire de réponse de la mairie de Nice à l’O.D.J. de ce conseil d’école. )
M. Boulle ajoute qu’il est tout à fait déconcerté et attristé de ne pouvoir préparer correctement les élèves de cycle 3 en E.P.S., alors que depuis la rénovation de ses installations sportives, le collège de secteur où iront ses élèves, Collège Port Lympia, est devenu un pôle d’excellence en la matière.
Il convient de réactiver cette demande avec la plus vive insistance, pour que les élèves aient leur dû d’éducation physique et sportive, sans passer des heures dans les transports.
De même pour la demande d’aménagement d’un système de chauffage des toilettes extérieurs du rez de chaussée, les seuls de l’école à part un unique toilette à l’étage que les enfants, notamment les plus jeunes de 5 à 7 ans, se retiennent d’utiliser lorsqu’il fait froid ou mauvais temps…
-
Problème de transport des classes par les Lignes d’Azur, ligne 14
M. Boulle a évoqué longuement le problème dans une lettre à Madame Alziari-Nègre, en préparation de ce point du conseil d’école. « Après les problèmes rencontrés pendant tout le premier trimestre du fait de la modification de la ligne 14 (partage de la ligne 14 en deux parcours différents et suppression des véhicules à plus de 50 places), seule ligne desservant notre école excentrée, et l’annulation d’un projet pédagogique associé à une visite à l’observatoire du fait de l’impossibilité qu’une classe d’élèves puisse être transportée par des véhicules de 19 places, nous avions obtenu l’assurance par téléphone, auprès des services de Lignes d’Azur, que les véhicules de 19 places ne circuleraient désormais qu’exclusivement le week-end, des véhicules de 41 places assurant le reste des rotations. Nous avons programmé, le vendredi 10 avril dernier, une sortie des deux classes de l’école, en direction de la colline du Château, pour une visite guidée de ses vestiges historiques, et du Vieux-Nice, pour préparer notre représentation théâtrale du 5 mai au théâtre Francis Gag par une visite préalable de ce théâtre. Nos deux classes représentaient un groupe de 20 et un autre de 25, deux accompagnateurs par groupe compris. Soucieux de préparer minutieusement cette sortie, M. Boulle a chronométré les parcours aller et retour, en parcourant lui-même ces itinéraires à pied et en bus (41 places), le dimanche 5 avril. Pendant l’arrêt au terminus de la ligne, il a également rencontré le chauffeur du bus 14 (41 places), à qui il souhaitait faire part de notre intention d’avoir recours, pour le retour, le 10 avril, aux véhicules de la ligne 14, à partir de l’arrêt Ségurane, en direction du Mont Boron, aux alentours de 15h. Il a obtenu de ce chauffeur les trois horaires précis de départ du 14 des Galeries Lafayette, les vendredis, ce qui a permis de déterminer les deux rotations sur lesquelles les deux classes pourraient revenir au Mont Boron, pour être de retour avant la sortie des classes à 16h30, une seule n’y suffisant pas, avec un véhicule de 41 places. A aucun moment ce chauffeur n’a mentionné le fait qu’un des horaires pourrait concerner un véhicule de 19 places, incapable de transporter les groupes dont M. Boulle était en train de lui parler, en lui indiquant les nombres de personnes à transporter. Il a par ailleurs obtenu de ce chauffeur, le conseil de prendre contact avec le service clients de Lignes d’Azur, afin que tous les chauffeurs potentiels de la ligne 14, ce jour-là, soient prévenus de la présence de ces deux groupes, à l’arrêt Ségurane, au jour et aux heures dites. M. Boulle a donc joint le service clients le lundi 6 avril, donnant ces informations, interrogeant sur d’éventuelles difficultés subsistant de la modification intervenue sur cette ligne à l’automne dernier, obtenant l’assurance « qu’il n’y aurait aucun problème si les groupes ne souhaitaient pas monter dans le même véhicule qui ne peut contenir que 41 passagers », l’interlocuteur joint disant se charger de transmettre ces informations aux chauffeurs programmés le 10 avril après-midi sur la ligne 14, pour qu’ils soient avertis. Le matin, le groupe de 25 (classe de cycle 3 de M. Boulle) avait fait le choix d’aller à pied de l’école Alain Péglion à la colline du Château où nous devions nous retrouver avec ma classe de cycle 2 (le groupe de 20) après que nous y soyons allés en bus 14. Au premier horaire de départ du Mont Boron que nous avions choisi, nous n’avons pas pu être transportés, car nous avons eu la surprise d’y trouver un véhicule de 19 places, où étaient déjà installés quelques voyageurs. Nous avons pu être transportés à la rotation suivante, par un véhicule de 41 places. L’après-midi, à l’heure du premier retour choisi pour la classe de cycle 2 (15h15 environ), il est passé un véhicule de 19 places qui ne pouvait pas transporter le groupe. A l’heure choisie du deuxième retour (15h45 environ) pour la classe de cycle 3, la classe de cycle 2, incapable de retourner au Mont Boron à pied, après plus d’une demi-heure d’attente sur le trottoir, a pu embarquer dans un véhicule de 41 places déjà bien fréquenté, alors que la classe de cycle 3 à dû se résoudre à retourner à l’école Alain Péglion à pied, après une journée ayant déjà pourtant fait un usage suffisant de la marche à pied, pour une remontée pénible, qui a fait arriver les élèves de cycle 3 à l’école épuisés, et aux limites des dispositions horaires légales. Nous constatons que l’impossibilité de transport des classes de l’école excentrée Alain Péglion pour des sorties pédagogiques en direction de la ville de Nice demeure donc, tel que décrit au point 6 de notre compte-rendu de conseil d’école de novembre 2008 (offre pédagogique amoindrie par rapport aux autres écoles niçoises), doublé d’une impossibilité d’obtenir des informations fiables, au point de mettre des groupes d’enfants en grave difficulté. Cela nous parait tout à fait inacceptable et de nature à devoir être amélioré par l’intervention des autorités compétentes. Evidemment les familles ont déjà été informées de ces faits. »
M. Boulle évoque en conseil, comment il a pu, grâce à une mère d’élève qui connaît un élu, qui lui-même a sollicité Mme Lartigau, se faire donner, vers le mois de janvier 2009, les horaires de fonctionnement de la ligne 14, avec ses deux tailles de véhicules. Dans le contexte de modification de la ligne, il avait cru ces informations infirmées par les informations beaucoup plus récentes prises auprès des personnels des Lignes d’Azur au moment de l’organisation de la sortie, en mai. Maintenant que l’information fiable semble être celle transmise par Mme. Lartigau en janvier dernier, il apparaît que l’alternance choisie ne favorise pas l’utilisation des autocars de moyenne capacité (seuls pouvant transporter les groupes-classes) par les élèves de l’école Alain Péglion, sur une amplitude horaire suffisante, rapportée aux horaires scolaires (8h30-11h30/13h30-16h30). Un courrier sera envoyé à Madame Lartigau, pour solliciter l’étude bienveillante d’un éventuel aménagement des horaires de fonctionnement des bus de moyenne capacité, mieux en phase avec les horaires scolaires, pour permettre une plus large amplitude horaire à l’extérieur de l’école, les jours de sorties pédagogiques.
-
Crédits pédagogiques octroyés par la Ville de Nice et modalités de commandes.
– commandes sur crédits pédagogiques : les délais sont trop réduits. M. Boulle explique que les bons de commandes ad’ hoc sont reçus le 05 05 09, les catalogues d’un des fournisseur adjudicataire le plus sollicité pour la papeterie le 12 05 09, pour des commandes à effectuer éventuellement avant le 25 mai 2009 ! Certains matériels pédagogiques, n’ayant pu être achetés l’année précédente, sont souvent attendus, si c’était possible, dès le début de l’année civile suivante, pour qu’ils puissent profiter aus élèves le plus rapidement. Ce sont des crédits sur année civile et ils ne sont utilisables qu’entre la mi-mai et début octobre (5 mois dont les vacances d’été) : c’est tout à fait insuffisant pour permettre aux équipes pédagogiques non-installées durablement, de fonctionner dans l’intérêt de l’efficacité pédagogique pour leurs élèves. M. Boulle se demande quelles peuvent les contraintes de gestion qui conduisent les enseignants à être privés pendant 6 mois et demi de l’usage des crédits pédagogiques alloués aux élèves de la Ville de Nice, d’autant que ceux là étant loin d’être les plus importants attribués par les différentes municipalités de notre département, ils doivent être gérés par les écoles de façon très contrainte, a fortiori en période de changement brutal des programmes scolaires pour tous les niveaux de l’école à la fois, qui impliquerait un renouvellement complet des manuels scolaires. Il est encore plus long de trier ce qui peut être acheté de ce qui serait nécessaire mais ne peut être acheté, avec des hiérarchies de priorités très difficiles à établir.
– commandes de produits d’entretien sur crédits mairie : bons reçus fin avril pour des commandes à réaliser avant le 25 mai. Quelques heures passées à effectuer ces commandes entre les trois fournisseurs et en concertation avec toute l’équipe éducative et le personnel d’entretien pour s’entendre dire que les bons de commande reçus ne sont plus valides, que les commandes ne pourront pas être servis et rangées avant les vacances d’été. Début juin les bons valides n’ont toujours pas été reçus par les écoles niçoises. Quid des demandes de commandes groupées formulées aux écoles début mai ?… Beaucoup de temps perdu dans les écoles, pour des travaux effectués inutilement et des difficultés à obtenir les documents valides.
-
Modification du calendrier scolaire.
A l’initiative du ministère et de l’Inspection Académique, le jour de classe du 22 mai a été reporté au mercredi 3 juin, avec une circulaire que M. Boulle regrette qu’elle ait été très peu claire, voire ambiguë et qu’il ne l’ait pas lu plus lentement avec plus d’acuité, pour éviter les inconvénients du report qui lui avait paru imposé. L’équipe constate beaucoup d’inconvénient à ce dispositif : fort absentéisme le 3 juin, excitation et mise en danger des élèves par eux-mêmes le vendredi 5 juin après 4 jours de classe sans coupure, contre-productivité pédagogique de la mise en ambiance de vacances accrue, démobilisant les élèves, rendant le temps scolaire anecdotique dans cette longue période de tout le mois de mai 2009 après de longues vacances de printemps. Les résultats scolaires s’en trouvent fortement altérés, selon l’avis des enseignants, avec des déficits d’efficacité qui constituent des pertes de temps.
-
Infirmière scolaire.
Madame Mannucci explique qu’une demi-journée par an pour l’école Alain Péglion, c’est vraiment très peu ! Première et seule venue à ce jour à l’école Alain Péglion pour l’année scolaire, le 11 mai matin. En outre plusieurs rendez-vous ont été pris et décommandés. La visite médicale en GS ne semble pas pouvoir avoir lieu cette année. Ce n’est pas satisfaisant pour ces élèves. (Les jours qui ont suivi ce conseil, la visite médicale a eu lieu pour les GS de maternelle, puis un autre jour pour les CE2 et les CM2 de l’école.)
-
Organisation pédagogique 2009-2010.
Madame l’Inspectrice de l’Education Nationale nous a écrit pour nous demander d’équilibrer les effectifs des classes l’an prochain. L’organisation pédagogique pour l’année 2009-2010 préconisée par l’Inspectrice de l’Education Nationale, avec un équilibrage des effectifs entre les deux classes : une classe GS-CP-CE1-CE2 à 19 élèves, une classe CM1-CM2 à 18 élèves. Du fait du déséquilibre entre le nombre d’élèves en cycle 2 (12 à ce jour) et en cycle 3 (25 à ce jour), il est aussi possible que les élèves de CE2 soient répartis entre les deux classes, pour optimiser l’efficacité pédagogique en évitant de surcharger une classe.
-
Connexion internet.
La distance au serveur de notre école étant quasiment le maximum admissible (4,9 km du serveur de Delfino), la connexion de « faible haut débit » (3Mo seulement, c’est peu pour Nice) reste extrêmement instable et sujette à de nombreuses déconnexions intempestives. Cela a été particulièrement dommageable lors de la classe TICE, 4 jours dédiés à la construction du site de l’école, où de nombreux travaux d’élèves ont été régulièrement partiellement perdus, du fait des déconnexions intempestives en cours de travail sur des pages html, en ligne. Madame Binda évoque la solution adoptée par les habitants du quartier, qui consiste à prendre un abonnement à Numéricable. La Ville de Nice serait-elle disposée à fiabiliser la connexion de l’école Alain Péglion au travers de cette solution ?
Filtrage de la connexion internet : les sites bloqués tels que les sites de France Culture ou encore YouTube lorsque c’est le média choisi par Yann Arthus Bertrand pour la diffusion gratuite la plus large possible du film HOME, devraient pouvoir être rétablis lorsque les enseignants gardent la maitrise de la navigation, faute de quoi les élèves passent à côté de ressources essentielles.
-
Projet d’école 2009-2012.
Le « projet » de Projet d’école 2009-2012 sera établi demain en fonction des critères locaux rapportés aux rubriques proposées par le document académique, après un bilan du projet 2006-2009, puis transmis à l’I.E.N. Ce projet finalisé par la suite en concertation avec l’équipe de circonscription, sera présenté au premier conseil d’école de l’année scolaire prochaine.
-
Fête de l’école, kermesse.
Les parents délégués ont largement contribué à optimiser l’organisation de cette journée festive et de la tombola qui va la précéder, pour de nombreux aspects de celles-ci, grâce à l’expérience qu’ils en ont, contrairement aux deux enseignants pour qui ce sera une première dans cette école. Il ne semble pas nécessaire de détailler ici tous les éléments d’organisation matérielle réglés ce jour là. La structure générale du spectacle est présentée : 3 pièces de théâtre et un récital de chant choral.
Les participants se séparent le 09 06 2009, vers 19h45, après 1h30 de conseil d’école.